Question
En cours de résolution
Quelle est la nécessité du prélèvelement d'air actif ET passif sous ISO 5?
1 Réponse
Le 28/01/2024
Le prélèvement d'air actif et passif sous une enceinte ISO 5 est essentiel pour assurer un environnement contrôlé et garantir la qualité des processus et des produits dans les salles blanches, notamment dans les industries pharmaceutiques, biotechnologiques et de fabrication de dispositifs médicaux. La norme ISO 5 correspond à la classification de la salle blanche et définit le nombre maximum de particules autorisées par mètre cube d'air.
Le prélèvement d'air actif implique l'utilisation d'instruments qui aspirent activement un volume d'air spécifié à travers un ou plusieurs filtres ou substrats de capture pour collecter et compter les particules en suspension. Ce prélèvement actif permet de quantifier avec précision le nombre de particules présentes dans l'air à un moment donné, ce qui est critique pour le maintien des standards de la salle blanche ISO 5.
Les appareils comme les compteurs de particules actifs, tels que les modèles APEX Z50 ou Solair 3100, sont souvent utilisés pour ces mesures. Ils offrent un débit élevé de prélèvement d'air (par exemple, 28,3 litres par minute pour le Solair 3100) et une capacité de discrimination des particules par taille, ce qui est essentiel pour le suivi de la qualité de l'air en temps réel et la conformité aux normes ISO.
Le prélèvement d'air passif, en revanche, ne nécessite pas d'appareils mécaniques pour collecter les particules. Il repose sur la sédimentation naturelle des particules sur des plaques de pétri ou d'autres substrats exposés à l'environnement de la salle blanche pendant une période déterminée. Les plaques de pétri sont ensuite incubées pour permettre la croissance de colonies microbiennes qui peuvent être comptées et identifiées. Ce type de prélèvement est utilisé pour évaluer la contamination microbiologique de l'air.
Les deux méthodes de prélèvement sont complémentaires. Le prélèvement actif permet un suivi continu de la qualité de l'air et la détection rapide des déviations par rapport aux seuils acceptables, tandis que le prélèvement passif offre une évaluation qualitative de la contamination microbiologique sur une plus longue période. La combinaison de ces deux méthodes fournit une image complète de la qualité de l'air dans une salle blanche ISO 5 et permet de prendre des mesures correctives en cas de non-conformité.
Dans les salles blanches ISO 5, où les conditions doivent être strictement contrôlées pour protéger les processus critiques et les produits sensibles, la mise en œuvre régulière de ces méthodes de prélèvement est nécessaire pour assurer une maîtrise continuelle de l'environnement et pour répondre aux exigences réglementaires et aux standards de qualité.
Le prélèvement d'air actif implique l'utilisation d'instruments qui aspirent activement un volume d'air spécifié à travers un ou plusieurs filtres ou substrats de capture pour collecter et compter les particules en suspension. Ce prélèvement actif permet de quantifier avec précision le nombre de particules présentes dans l'air à un moment donné, ce qui est critique pour le maintien des standards de la salle blanche ISO 5.
Les appareils comme les compteurs de particules actifs, tels que les modèles APEX Z50 ou Solair 3100, sont souvent utilisés pour ces mesures. Ils offrent un débit élevé de prélèvement d'air (par exemple, 28,3 litres par minute pour le Solair 3100) et une capacité de discrimination des particules par taille, ce qui est essentiel pour le suivi de la qualité de l'air en temps réel et la conformité aux normes ISO.
Le prélèvement d'air passif, en revanche, ne nécessite pas d'appareils mécaniques pour collecter les particules. Il repose sur la sédimentation naturelle des particules sur des plaques de pétri ou d'autres substrats exposés à l'environnement de la salle blanche pendant une période déterminée. Les plaques de pétri sont ensuite incubées pour permettre la croissance de colonies microbiennes qui peuvent être comptées et identifiées. Ce type de prélèvement est utilisé pour évaluer la contamination microbiologique de l'air.
Les deux méthodes de prélèvement sont complémentaires. Le prélèvement actif permet un suivi continu de la qualité de l'air et la détection rapide des déviations par rapport aux seuils acceptables, tandis que le prélèvement passif offre une évaluation qualitative de la contamination microbiologique sur une plus longue période. La combinaison de ces deux méthodes fournit une image complète de la qualité de l'air dans une salle blanche ISO 5 et permet de prendre des mesures correctives en cas de non-conformité.
Dans les salles blanches ISO 5, où les conditions doivent être strictement contrôlées pour protéger les processus critiques et les produits sensibles, la mise en œuvre régulière de ces méthodes de prélèvement est nécessaire pour assurer une maîtrise continuelle de l'environnement et pour répondre aux exigences réglementaires et aux standards de qualité.
Domaine(s) concerné(s) :
Informations :
Postée le : mercredi 13 février 2019
Bonjour. Je suis à la recherche de l'explication de la nécessité du prélèvelement d'air actif ET passif sous ISO 5
Contenus cités dans les réponses
Partager cette question :
Questions sur le même sujet
Une question à été posée - Le 15/11/2022
Activités citées
Une question à été posée - Le 24/02/2023
Activités citées
Une question à été posée - Le 16/09/2021
Activités citées
Une question à été posée - Le 20/11/2020
Activités citées
Une question à été posée - Le 14/06/2023
Activités citées
Une question à été posée - Le 22/11/2023
Quelle quantité de débit d'air est nécessaire pour une ventilation efficace sur une surface donnée ?
Activités citées