Produit
TOXmini
Le Toximètre portable de terrain et laboratoire, méthode ISO.
Description
Le TOXmini est un luminomètre portable pour la mesure des réactions de luminescence biologiques et chimiques avec une émission de lumière relativement constante. Le TOXmini est adapté aux mesures de toxicité des échantillons liquides sur les bactéries luminescentes.
Le système de test mobile équipé d’un détecteur très sensible (compteur de photon ultra sensible) pour le laboratoire et le terrain, le TOXmini est adapté à une large gamme d’applications.
- Analyses Environmentales/Ecotoxicologie ; tests sur bactéries luminescentes de toxicité aiguë et chronique
- Contrôle d’hygiène: analyses ATP et biomasse
Caractéristiques générales
Caractéristique | Valeur |
---|---|
Affichage | Graphique rétro-éclairé |
Alimentation secteur | 230 V / 50 Hz, 115 V / 60 Hz |
Batteries | NiCd 2500 mAh |
Dimensions | 170 x 150 x 280 mm |
Gamme d'ondes spectrales | 380 - 630 nm |
Humidité | 10% à 90% (sans condensation) |
Interface | RS 232 |
Mémoire stockage | 2000 résultats |
Plage température | +15°C à +30°C |
Poids | 2 kg |
Questions sur le produit :
Nouvelle réponse
- Le 01/01/2024
Quelle est le calcul de la corrélation polluants hydriques et réactifs ?
Réponse :
Le calcul de la corrélation entre les polluants hydriques et les réactifs est une démarche qui implique plusieurs étapes et considérations techniques pour évaluer l'efficacité des réactifs dans le traitement de la pollution de l'eau. Voici un aperçu des étapes impliquées dans ce processus :
1. Identification des polluants : La première étape consiste à identifier et quantifier les polluants présents dans l'échantillon d'eau à analyser. Cela peut inclure des substances telles que les métaux lourds, les nutriments (azote, phosphore), les composés organiques volatils (COV), les pesticides, les bactéries, et d'autres contaminants.
2. Sélection des réactifs : En fonction des types de polluants identifiés, des réactifs spécifiques sont sélectionnés pour leur capacité à réagir avec les polluants et les neutraliser ou les transformer en composés moins nocifs ou plus facilement séparables de l'eau.
3. Essais de laboratoire : Des essais de laboratoire sont menés pour déterminer l'efficacité des réactifs sur les polluants. On utilise souvent des analyses comme la spectrophotométrie, la chromatographie, et d'autres méthodes de détection pour mesurer la concentration des polluants avant et après le traitement avec les réactifs.
4. Établissement de la corrélation : La corrélation entre les polluants et les réactifs est établie en utilisant des modèles statistiques et des analyses de régression. Les données obtenues des essais de laboratoire sont utilisées pour calculer la relation entre la concentration des réactifs et l'efficacité du traitement. On recherche une fonction mathématique qui décrit le mieux cette relation, souvent sous forme d'une équation de régression linéaire ou non linéaire.
5. Optimisation : Les données de corrélation sont ensuite utilisées pour optimiser le dosage des réactifs. L'objectif est de trouver la concentration optimale de réactif qui permet d'atteindre l'efficacité maximale de traitement tout en minimisant les coûts et les effets secondaires comme la production de sous-produits indésirables.
Parmi les produits qui pourraient être utilisés dans ce contexte, on peut citer l'analyseur de flux continu Futura 3 d'AMS, qui permet d'analyser jusqu'à 16 paramètres en parallèle et d'automatiser complètement les opérations. De plus, le TOXmini est un luminomètre portable adapté aux mesures de toxicité des échantillons liquides, ce qui peut être utile pour évaluer l'impact des réactifs sur des organismes biologiques.
Il est également possible d'utiliser des logiciels de modélisation et de simulation, tels que ceux intégrés dans les systèmes de gestion de la qualité de l'eau, pour prévoir l'interaction entre les polluants et les réactifs et pour optimiser les processus de traitement des eaux polluées.
1. Identification des polluants : La première étape consiste à identifier et quantifier les polluants présents dans l'échantillon d'eau à analyser. Cela peut inclure des substances telles que les métaux lourds, les nutriments (azote, phosphore), les composés organiques volatils (COV), les pesticides, les bactéries, et d'autres contaminants.
2. Sélection des réactifs : En fonction des types de polluants identifiés, des réactifs spécifiques sont sélectionnés pour leur capacité à réagir avec les polluants et les neutraliser ou les transformer en composés moins nocifs ou plus facilement séparables de l'eau.
3. Essais de laboratoire : Des essais de laboratoire sont menés pour déterminer l'efficacité des réactifs sur les polluants. On utilise souvent des analyses comme la spectrophotométrie, la chromatographie, et d'autres méthodes de détection pour mesurer la concentration des polluants avant et après le traitement avec les réactifs.
4. Établissement de la corrélation : La corrélation entre les polluants et les réactifs est établie en utilisant des modèles statistiques et des analyses de régression. Les données obtenues des essais de laboratoire sont utilisées pour calculer la relation entre la concentration des réactifs et l'efficacité du traitement. On recherche une fonction mathématique qui décrit le mieux cette relation, souvent sous forme d'une équation de régression linéaire ou non linéaire.
5. Optimisation : Les données de corrélation sont ensuite utilisées pour optimiser le dosage des réactifs. L'objectif est de trouver la concentration optimale de réactif qui permet d'atteindre l'efficacité maximale de traitement tout en minimisant les coûts et les effets secondaires comme la production de sous-produits indésirables.
Parmi les produits qui pourraient être utilisés dans ce contexte, on peut citer l'analyseur de flux continu Futura 3 d'AMS, qui permet d'analyser jusqu'à 16 paramètres en parallèle et d'automatiser complètement les opérations. De plus, le TOXmini est un luminomètre portable adapté aux mesures de toxicité des échantillons liquides, ce qui peut être utile pour évaluer l'impact des réactifs sur des organismes biologiques.
Il est également possible d'utiliser des logiciels de modélisation et de simulation, tels que ceux intégrés dans les systèmes de gestion de la qualité de l'eau, pour prévoir l'interaction entre les polluants et les réactifs et pour optimiser les processus de traitement des eaux polluées.
Nouvelle réponse
- Le 07/12/2023
Comment analyser et protéger l'eau d'un étang suite à un rejet d'eaux usées?
Réponse :
Pour analyser et protéger l'eau d'un étang suite à un rejet d'eaux usées, il est nécessaire de mettre en place un plan d'action comprenant plusieurs étapes clés : le suivi et l'évaluation de la qualité de l'eau, la détermination des sources de pollution, et l'application de mesures correctives pour traiter la pollution et prévenir de futurs incidents. Voici un détail des étapes techniques impliquées :
1. Évaluation initiale :
- Inspection visuelle de l'étang pour détecter les signes de pollution tels que la présence de mousse, de coloration anormale ou de mortalité de poissons.
- Collecte d'informations sur la source du rejet d'eaux usées et estimation de la quantité et de la composition des contaminants.
2. Prélèvement et analyse des échantillons d'eau :
- Utilisation d'un préleveur automatique, comme le Préleveur réfrigéré monoflacon AS950 ou le Préleveur réfrigéré multi-flacons AS950, pour collecter des échantillons d'eau à différents endroits et profondeurs de l'étang.
- Analyse des échantillons pour des paramètres physico-chimiques et biologiques, y compris les nitrates, les phosphates, la demande biochimique en oxygène (DBO), la demande chimique en oxygène (DCO), les matières en suspension, les métaux lourds, etc. Des appareils comme le Smartchem 200 ou le Smartchem 600 peuvent être utilisés pour ces analyses en laboratoire.
- Mesure des paramètres in situ tels que le pH, l'oxygène dissous, la conductivité et la turbidité à l'aide de sondes multiparamètres portables comme le Manta+ ou l'Odeon Photopod.
3. Évaluation de l'impact écologique :
- Étude de l'impact sur la faune et la flore aquatiques, y compris les tests de toxicité sur les organismes aquatiques avec un appareil comme le TOXmini.
4. Traitement de la pollution :
- En fonction des contaminants identifiés, une stratégie de traitement peut inclure l'aération pour augmenter les niveaux d'oxygène, l'ajout de charbon actif pour absorber les polluants organiques, ou l'utilisation de floculants pour précipiter les métaux lourds.
- Pour les contaminants spécifiques comme les nitrates, des solutions comme la sonde NitraLed UV peuvent être utilisées pour la mesure en continu et le contrôle de la concentration en nitrates.
5. Mesures préventives et de suivi :
- Installation de systèmes de surveillance en continu comme le BACTcontrol pour surveiller l'activité microbiologique ou la sonde HAP pour la détection des hydrocarbures aromatiques polycycliques.
- Mise en place de barrières physiques ou de zones tampons pour prévenir de futurs rejets.
- Régulation des rejets industriels et sensibilisation des parties prenantes à la gestion durable des eaux usées.
6. Restauration écologique :
- Si nécessaire, mise en œuvre de techniques de restauration écologique, comme la réintroduction d'espèces indigènes ou l'aménagement de zones humides artificielles pour filtrer les eaux de ruissellement.
7. Réglementation et conformité :
- Assurer la conformité avec la législation locale et nationale en matière de rejets d'eaux usées et de qualité de l'eau.
- Réalisation d'audits réguliers et de rapports de conformité.
En utilisant les appareils et les techniques appropriés, il est possible de caractériser avec précision l'étendue de la pollution, d'appliquer des mesures correctives efficaces et de mettre en œuvre des stratégies de prévention pour protéger l'eau d'un étang contre les rejets d'eaux usées.
1. Évaluation initiale :
- Inspection visuelle de l'étang pour détecter les signes de pollution tels que la présence de mousse, de coloration anormale ou de mortalité de poissons.
- Collecte d'informations sur la source du rejet d'eaux usées et estimation de la quantité et de la composition des contaminants.
2. Prélèvement et analyse des échantillons d'eau :
- Utilisation d'un préleveur automatique, comme le Préleveur réfrigéré monoflacon AS950 ou le Préleveur réfrigéré multi-flacons AS950, pour collecter des échantillons d'eau à différents endroits et profondeurs de l'étang.
- Analyse des échantillons pour des paramètres physico-chimiques et biologiques, y compris les nitrates, les phosphates, la demande biochimique en oxygène (DBO), la demande chimique en oxygène (DCO), les matières en suspension, les métaux lourds, etc. Des appareils comme le Smartchem 200 ou le Smartchem 600 peuvent être utilisés pour ces analyses en laboratoire.
- Mesure des paramètres in situ tels que le pH, l'oxygène dissous, la conductivité et la turbidité à l'aide de sondes multiparamètres portables comme le Manta+ ou l'Odeon Photopod.
3. Évaluation de l'impact écologique :
- Étude de l'impact sur la faune et la flore aquatiques, y compris les tests de toxicité sur les organismes aquatiques avec un appareil comme le TOXmini.
4. Traitement de la pollution :
- En fonction des contaminants identifiés, une stratégie de traitement peut inclure l'aération pour augmenter les niveaux d'oxygène, l'ajout de charbon actif pour absorber les polluants organiques, ou l'utilisation de floculants pour précipiter les métaux lourds.
- Pour les contaminants spécifiques comme les nitrates, des solutions comme la sonde NitraLed UV peuvent être utilisées pour la mesure en continu et le contrôle de la concentration en nitrates.
5. Mesures préventives et de suivi :
- Installation de systèmes de surveillance en continu comme le BACTcontrol pour surveiller l'activité microbiologique ou la sonde HAP pour la détection des hydrocarbures aromatiques polycycliques.
- Mise en place de barrières physiques ou de zones tampons pour prévenir de futurs rejets.
- Régulation des rejets industriels et sensibilisation des parties prenantes à la gestion durable des eaux usées.
6. Restauration écologique :
- Si nécessaire, mise en œuvre de techniques de restauration écologique, comme la réintroduction d'espèces indigènes ou l'aménagement de zones humides artificielles pour filtrer les eaux de ruissellement.
7. Réglementation et conformité :
- Assurer la conformité avec la législation locale et nationale en matière de rejets d'eaux usées et de qualité de l'eau.
- Réalisation d'audits réguliers et de rapports de conformité.
En utilisant les appareils et les techniques appropriés, il est possible de caractériser avec précision l'étendue de la pollution, d'appliquer des mesures correctives efficaces et de mettre en œuvre des stratégies de prévention pour protéger l'eau d'un étang contre les rejets d'eaux usées.
a ajouté un article où est cité TOXmini
a ajouté un article où est cité TOXmini
Marque
Vendu, loué et réparé par :
AQUALABO
01 55 09 10 10
Sponsorisée
Chalandise (pays) : FR,MA,TN
Taux de réponse : 98%
Vendu par :
BIONEF
01 42 87 90 63
Sponsorisée
Chalandise (pays) : FR,BE,CA,CH et 2 autres
Taux de réponse : 63%
Partager
Posez une question sur le produit
Poser une question
Questions (2)
Nouvelle réponse
- Le 01/01/2024
Quelle est le calcul de la corrélation polluants hydriques et réactifs ?
Réponse :
Le calcul de la corrélation entre les polluants hydriques et les réactifs est une démarche qui implique plusieurs étapes et considérations techniques pour évaluer l'efficacité des réactifs dans le traitement de la pollution de l'eau. Voici un aperçu des étapes impliquées dans ce processus :
1. Identification des polluants : La première étape consiste à identifier et quantifier les polluants présents dans l'échantillon d'eau à analyser. Cela peut inclure des substances telles que les métaux lourds, les nutriments (azote, phosphore), les composés organiques volatils (COV), les pesticides, les bactéries, et d'autres contaminants.
2. Sélection des réactifs : En fonction des types de polluants identifiés, des réactifs spécifiques sont sélectionnés pour leur capacité à réagir avec les polluants et les neutraliser ou les transformer en composés moins nocifs ou plus facilement séparables de l'eau.
3. Essais de laboratoire : Des essais de laboratoire sont menés pour déterminer l'efficacité des réactifs sur les polluants. On utilise souvent des analyses comme la spectrophotométrie, la chromatographie, et d'autres méthodes de détection pour mesurer la concentration des polluants avant et après le traitement avec les réactifs.
4. Établissement de la corrélation : La corrélation entre les polluants et les réactifs est établie en utilisant des modèles statistiques et des analyses de régression. Les données obtenues des essais de laboratoire sont utilisées pour calculer la relation entre la concentration des réactifs et l'efficacité du traitement. On recherche une fonction mathématique qui décrit le mieux cette relation, souvent sous forme d'une équation de régression linéaire ou non linéaire.
5. Optimisation : Les données de corrélation sont ensuite utilisées pour optimiser le dosage des réactifs. L'objectif est de trouver la concentration optimale de réactif qui permet d'atteindre l'efficacité maximale de traitement tout en minimisant les coûts et les effets secondaires comme la production de sous-produits indésirables.
Parmi les produits qui pourraient être utilisés dans ce contexte, on peut citer l'analyseur de flux continu Futura 3 d'AMS, qui permet d'analyser jusqu'à 16 paramètres en parallèle et d'automatiser complètement les opérations. De plus, le TOXmini est un luminomètre portable adapté aux mesures de toxicité des échantillons liquides, ce qui peut être utile pour évaluer l'impact des réactifs sur des organismes biologiques.
Il est également possible d'utiliser des logiciels de modélisation et de simulation, tels que ceux intégrés dans les systèmes de gestion de la qualité de l'eau, pour prévoir l'interaction entre les polluants et les réactifs et pour optimiser les processus de traitement des eaux polluées.
1. Identification des polluants : La première étape consiste à identifier et quantifier les polluants présents dans l'échantillon d'eau à analyser. Cela peut inclure des substances telles que les métaux lourds, les nutriments (azote, phosphore), les composés organiques volatils (COV), les pesticides, les bactéries, et d'autres contaminants.
2. Sélection des réactifs : En fonction des types de polluants identifiés, des réactifs spécifiques sont sélectionnés pour leur capacité à réagir avec les polluants et les neutraliser ou les transformer en composés moins nocifs ou plus facilement séparables de l'eau.
3. Essais de laboratoire : Des essais de laboratoire sont menés pour déterminer l'efficacité des réactifs sur les polluants. On utilise souvent des analyses comme la spectrophotométrie, la chromatographie, et d'autres méthodes de détection pour mesurer la concentration des polluants avant et après le traitement avec les réactifs.
4. Établissement de la corrélation : La corrélation entre les polluants et les réactifs est établie en utilisant des modèles statistiques et des analyses de régression. Les données obtenues des essais de laboratoire sont utilisées pour calculer la relation entre la concentration des réactifs et l'efficacité du traitement. On recherche une fonction mathématique qui décrit le mieux cette relation, souvent sous forme d'une équation de régression linéaire ou non linéaire.
5. Optimisation : Les données de corrélation sont ensuite utilisées pour optimiser le dosage des réactifs. L'objectif est de trouver la concentration optimale de réactif qui permet d'atteindre l'efficacité maximale de traitement tout en minimisant les coûts et les effets secondaires comme la production de sous-produits indésirables.
Parmi les produits qui pourraient être utilisés dans ce contexte, on peut citer l'analyseur de flux continu Futura 3 d'AMS, qui permet d'analyser jusqu'à 16 paramètres en parallèle et d'automatiser complètement les opérations. De plus, le TOXmini est un luminomètre portable adapté aux mesures de toxicité des échantillons liquides, ce qui peut être utile pour évaluer l'impact des réactifs sur des organismes biologiques.
Il est également possible d'utiliser des logiciels de modélisation et de simulation, tels que ceux intégrés dans les systèmes de gestion de la qualité de l'eau, pour prévoir l'interaction entre les polluants et les réactifs et pour optimiser les processus de traitement des eaux polluées.
Nouvelle réponse
- Le 07/12/2023
Comment analyser et protéger l'eau d'un étang suite à un rejet d'eaux usées?
Réponse :
Pour analyser et protéger l'eau d'un étang suite à un rejet d'eaux usées, il est nécessaire de mettre en place un plan d'action comprenant plusieurs étapes clés : le suivi et l'évaluation de la qualité de l'eau, la détermination des sources de pollution, et l'application de mesures correctives pour traiter la pollution et prévenir de futurs incidents. Voici un détail des étapes techniques impliquées :
1. Évaluation initiale :
- Inspection visuelle de l'étang pour détecter les signes de pollution tels que la présence de mousse, de coloration anormale ou de mortalité de poissons.
- Collecte d'informations sur la source du rejet d'eaux usées et estimation de la quantité et de la composition des contaminants.
2. Prélèvement et analyse des échantillons d'eau :
- Utilisation d'un préleveur automatique, comme le Préleveur réfrigéré monoflacon AS950 ou le Préleveur réfrigéré multi-flacons AS950, pour collecter des échantillons d'eau à différents endroits et profondeurs de l'étang.
- Analyse des échantillons pour des paramètres physico-chimiques et biologiques, y compris les nitrates, les phosphates, la demande biochimique en oxygène (DBO), la demande chimique en oxygène (DCO), les matières en suspension, les métaux lourds, etc. Des appareils comme le Smartchem 200 ou le Smartchem 600 peuvent être utilisés pour ces analyses en laboratoire.
- Mesure des paramètres in situ tels que le pH, l'oxygène dissous, la conductivité et la turbidité à l'aide de sondes multiparamètres portables comme le Manta+ ou l'Odeon Photopod.
3. Évaluation de l'impact écologique :
- Étude de l'impact sur la faune et la flore aquatiques, y compris les tests de toxicité sur les organismes aquatiques avec un appareil comme le TOXmini.
4. Traitement de la pollution :
- En fonction des contaminants identifiés, une stratégie de traitement peut inclure l'aération pour augmenter les niveaux d'oxygène, l'ajout de charbon actif pour absorber les polluants organiques, ou l'utilisation de floculants pour précipiter les métaux lourds.
- Pour les contaminants spécifiques comme les nitrates, des solutions comme la sonde NitraLed UV peuvent être utilisées pour la mesure en continu et le contrôle de la concentration en nitrates.
5. Mesures préventives et de suivi :
- Installation de systèmes de surveillance en continu comme le BACTcontrol pour surveiller l'activité microbiologique ou la sonde HAP pour la détection des hydrocarbures aromatiques polycycliques.
- Mise en place de barrières physiques ou de zones tampons pour prévenir de futurs rejets.
- Régulation des rejets industriels et sensibilisation des parties prenantes à la gestion durable des eaux usées.
6. Restauration écologique :
- Si nécessaire, mise en œuvre de techniques de restauration écologique, comme la réintroduction d'espèces indigènes ou l'aménagement de zones humides artificielles pour filtrer les eaux de ruissellement.
7. Réglementation et conformité :
- Assurer la conformité avec la législation locale et nationale en matière de rejets d'eaux usées et de qualité de l'eau.
- Réalisation d'audits réguliers et de rapports de conformité.
En utilisant les appareils et les techniques appropriés, il est possible de caractériser avec précision l'étendue de la pollution, d'appliquer des mesures correctives efficaces et de mettre en œuvre des stratégies de prévention pour protéger l'eau d'un étang contre les rejets d'eaux usées.
1. Évaluation initiale :
- Inspection visuelle de l'étang pour détecter les signes de pollution tels que la présence de mousse, de coloration anormale ou de mortalité de poissons.
- Collecte d'informations sur la source du rejet d'eaux usées et estimation de la quantité et de la composition des contaminants.
2. Prélèvement et analyse des échantillons d'eau :
- Utilisation d'un préleveur automatique, comme le Préleveur réfrigéré monoflacon AS950 ou le Préleveur réfrigéré multi-flacons AS950, pour collecter des échantillons d'eau à différents endroits et profondeurs de l'étang.
- Analyse des échantillons pour des paramètres physico-chimiques et biologiques, y compris les nitrates, les phosphates, la demande biochimique en oxygène (DBO), la demande chimique en oxygène (DCO), les matières en suspension, les métaux lourds, etc. Des appareils comme le Smartchem 200 ou le Smartchem 600 peuvent être utilisés pour ces analyses en laboratoire.
- Mesure des paramètres in situ tels que le pH, l'oxygène dissous, la conductivité et la turbidité à l'aide de sondes multiparamètres portables comme le Manta+ ou l'Odeon Photopod.
3. Évaluation de l'impact écologique :
- Étude de l'impact sur la faune et la flore aquatiques, y compris les tests de toxicité sur les organismes aquatiques avec un appareil comme le TOXmini.
4. Traitement de la pollution :
- En fonction des contaminants identifiés, une stratégie de traitement peut inclure l'aération pour augmenter les niveaux d'oxygène, l'ajout de charbon actif pour absorber les polluants organiques, ou l'utilisation de floculants pour précipiter les métaux lourds.
- Pour les contaminants spécifiques comme les nitrates, des solutions comme la sonde NitraLed UV peuvent être utilisées pour la mesure en continu et le contrôle de la concentration en nitrates.
5. Mesures préventives et de suivi :
- Installation de systèmes de surveillance en continu comme le BACTcontrol pour surveiller l'activité microbiologique ou la sonde HAP pour la détection des hydrocarbures aromatiques polycycliques.
- Mise en place de barrières physiques ou de zones tampons pour prévenir de futurs rejets.
- Régulation des rejets industriels et sensibilisation des parties prenantes à la gestion durable des eaux usées.
6. Restauration écologique :
- Si nécessaire, mise en œuvre de techniques de restauration écologique, comme la réintroduction d'espèces indigènes ou l'aménagement de zones humides artificielles pour filtrer les eaux de ruissellement.
7. Réglementation et conformité :
- Assurer la conformité avec la législation locale et nationale en matière de rejets d'eaux usées et de qualité de l'eau.
- Réalisation d'audits réguliers et de rapports de conformité.
En utilisant les appareils et les techniques appropriés, il est possible de caractériser avec précision l'étendue de la pollution, d'appliquer des mesures correctives efficaces et de mettre en œuvre des stratégies de prévention pour protéger l'eau d'un étang contre les rejets d'eaux usées.
Pas encore de tutoriel sur ce produit