Description
Le SUBMIX est un aérateur par brassage lent basse consommation conçu pour le traitement des eaux : lagunages, lacs, étangs.
Sa conception le rend très polyvalent, puisqu'il existe en version 220-240 V ou 380 V, ainsi qu'en option alimentée par des énergies renouvelable (solaire, éolienne).
Fonctionnement
Sa capacité de brassage permet de mettre en mouvement les masses d'eau et distribuer l'oxygène de la souche superficielle de l'eau. Il agit sur toute la colonne d'eau jusqu'à une profondeur de 7 m. Il ne remet pas en suspension les sédiments.
Application
- Aération- Prévention anoxie
- Contrôle des odeurs
- Contrôle des bactéries pourpres
- Prévention mortalité piscicole
- Augmentation biodiversité
Caractéristiques générales
Caractéristique | Valeur |
---|---|
Alimentation | Solaire, éolienne |
Consommation | 0,55kW/h |
Profondeur d'eau minimale | 0,8m |
Volume d'eau traité | 2500m3/h |
Questions sur le produit :
Nouvelle réponse
- Il y a 2 semaines
Recommandations : Renouvellement disques bassin d'aération
Réponse :
Pour le renouvellement des disques dans un bassin d'aération, il est crucial de considérer plusieurs aspects techniques. Optez pour des systèmes d'aération immergés ou de surface à haute efficacité pour maximiser le transfert d'oxygène et l'homogénéité du mélange. Le **LIXOR®**, avec son système Venturi non colmatant, est idéal pour des applications nécessitant un aérateur immergé à faible coût de maintenance. Pour des systèmes flottants, le **AQUA TURBO® AER-GS** assure un mélange intensif, avec un rendement constant, même en présence de filasses. En cas de contraintes d'installation au fond, le **E-FLEX FLOAT** propose une solution flottante avec des membranes EPDM ou silicone, permettant un diamètre de bulles optimal de 1 à 3 mm. Assurez-vous de choisir des matériaux non corrosifs pour garantir la durabilité des équipements. Pour plus de flexibilité, le **AQUA TURBO® AER-GD** offre des configurations adaptées aux bassins profonds avec un montage sur passerelle ou flottant. Enfin, considérez le **SUBMIX** pour une option alimentée par énergies renouvelables, réduisant ainsi l'empreinte carbone de votre installation.
Nouvelle réponse
- Il y a 2 semaines
Retours d'expériences sur les agitateurs de fond des bassins d'aération
Réponse :
Les agitateurs de fond des bassins d'aération jouent un rôle crucial dans le maintien d'un mélange homogène et une distribution uniforme de l'oxygène. Le E-FLEX FLOAT, un système d'aération flottant, est idéal lorsque l'installation sur le fond est difficile. Il utilise des membranes en EPDM ou silicone pour créer de fines bulles, optimisant ainsi le transfert d'oxygène.
Pour des applications nécessitant une aération et un mélange à faible consommation énergétique, le SUBMIX est une option performante, alimentée par des sources renouvelables comme le solaire ou l'éolien. Sa capacité à traiter jusqu'à 2500 m³/h le rend apte pour les grands volumes.
Enfin, pour une approche plus intégrée, le système BioRobic assure un transfert d'oxygène sans colmatage, essentiel pour les effluents industriels à forte charge. Ce système est particulièrement adapté aux environnements corrosifs, garantissant une durabilité accrue.
Ces systèmes, tout en diversifiant les approches, répondent efficacement aux exigences techniques et énergétiques des stations d'épuration modernes. Les choix dépendent de la configuration du bassin, des besoins en oxygénation et des contraintes environnementales spécifiques.
Pour des applications nécessitant une aération et un mélange à faible consommation énergétique, le SUBMIX est une option performante, alimentée par des sources renouvelables comme le solaire ou l'éolien. Sa capacité à traiter jusqu'à 2500 m³/h le rend apte pour les grands volumes.
Enfin, pour une approche plus intégrée, le système BioRobic assure un transfert d'oxygène sans colmatage, essentiel pour les effluents industriels à forte charge. Ce système est particulièrement adapté aux environnements corrosifs, garantissant une durabilité accrue.
Ces systèmes, tout en diversifiant les approches, répondent efficacement aux exigences techniques et énergétiques des stations d'épuration modernes. Les choix dépendent de la configuration du bassin, des besoins en oxygénation et des contraintes environnementales spécifiques.
Nouvelle réponse
- Le 28/02/2024
Quelles sont les techniques efficaces pour réaliser la déseutrophication d'un marais artificiel?
Réponse :
La déseutrophication d'un marais artificiel, également connue sous le terme de restauration écologique, est le processus visant à réduire l'excès de nutriments, principalement l'azote et le phosphore, qui provoque l'eutrophisation des eaux. Cette eutrophisation peut entraîner une croissance excessive d'algues et de plantes aquatiques, réduisant la qualité de l'eau et affectant négativement la biodiversité et les écosystèmes aquatiques. Pour réaliser la déseutrophication d'un marais artificiel, plusieurs techniques peuvent être employées :
1. **Contrôle des sources de nutriments** : La première étape consiste à limiter ou à intercepter les apports en nutriments provenant des sources ponctuelles (effluents industriels ou urbains) et diffuses (ruissellement agricole). Cela peut impliquer des changements dans les pratiques agricoles, l'installation de systèmes de traitement des eaux usées améliorés, ou la mise en place de zones tampons végétalisées pour filtrer les nutriments avant qu'ils n'atteignent le marais.
2. **Aération et brassage** : L'utilisation de systèmes d'aération ou de brassage comme le **SUBMIX** peut améliorer l'oxygénation de l'eau et faciliter les processus microbiens de dégradation de la matière organique et la nitrification/dénitrification, réduisant ainsi les concentrations d'azote.
3. **Traitement biologique** : L'introduction ou la gestion de plantes macrophytes et de micro-organismes est une stratégie clé pour la déseutrophisation. Les plantes absorbent les nutriments pour leur croissance, et les micro-organismes participent à la transformation de l'azote et du phosphore. Des systèmes comme le **NitriFAST®** peuvent être utilisés pour augmenter la capacité de nitrification et de dénitrification dans des conditions contrôlées.
4. **Précipitation chimique du phosphore** : L'ajout de sels de fer, d'aluminium ou de calcium peut être utilisé pour précipiter le phosphore, le rendant ainsi moins disponible pour les algues et les plantes aquatiques. Cette technique doit être utilisée avec précaution pour éviter la surcharge en sels et l'impact sur la faune.
5. **Systèmes à membranes** : Les technologies de membrane comme celles utilisées dans le système **BIOMAX** avec des membranes ZeeWeed® MBR peuvent être très efficaces dans le traitement des eaux usées en retenant les matières en suspension et en permettant un contrôle précis des processus biologiques de nitrification et de dénitrification.
6. **Récolte des plantes aquatiques et des algues** : La récolte des plantes et algues peut réduire la charge en nutriments en éliminant la biomasse qui a absorbé ces éléments. Cette technique implique une gestion continue et une élimination adéquate de la biomasse récoltée.
7. **Remise en état des sédiments** : Les sédiments peuvent être une source interne de nutriments, en particulier de phosphore. Des techniques telles que le dragage ou l'inactivation des sédiments par l'ajout de produits qui lient le phosphore peuvent être utilisées pour réduire la libération interne de nutriments.
8. **Gestion hydraulique** : La manipulation du régime hydraulique, y compris le contrôle des niveaux d'eau et l'écoulement, peut être utilisée pour optimiser les conditions du marais pour la déseutrophisation et la santé écologique.
Il est important de noter que la déseutrophisation est généralement un processus complexe qui peut nécessiter une combinaison de techniques adaptées aux conditions spécifiques du marais artificiel et de son bassin versant. Un plan de gestion intégré et une surveillance continue de la qualité de l'eau sont essentiels pour assurer l'efficacité à long terme des stratégies de déseutrophisation.
1. **Contrôle des sources de nutriments** : La première étape consiste à limiter ou à intercepter les apports en nutriments provenant des sources ponctuelles (effluents industriels ou urbains) et diffuses (ruissellement agricole). Cela peut impliquer des changements dans les pratiques agricoles, l'installation de systèmes de traitement des eaux usées améliorés, ou la mise en place de zones tampons végétalisées pour filtrer les nutriments avant qu'ils n'atteignent le marais.
2. **Aération et brassage** : L'utilisation de systèmes d'aération ou de brassage comme le **SUBMIX** peut améliorer l'oxygénation de l'eau et faciliter les processus microbiens de dégradation de la matière organique et la nitrification/dénitrification, réduisant ainsi les concentrations d'azote.
3. **Traitement biologique** : L'introduction ou la gestion de plantes macrophytes et de micro-organismes est une stratégie clé pour la déseutrophisation. Les plantes absorbent les nutriments pour leur croissance, et les micro-organismes participent à la transformation de l'azote et du phosphore. Des systèmes comme le **NitriFAST®** peuvent être utilisés pour augmenter la capacité de nitrification et de dénitrification dans des conditions contrôlées.
4. **Précipitation chimique du phosphore** : L'ajout de sels de fer, d'aluminium ou de calcium peut être utilisé pour précipiter le phosphore, le rendant ainsi moins disponible pour les algues et les plantes aquatiques. Cette technique doit être utilisée avec précaution pour éviter la surcharge en sels et l'impact sur la faune.
5. **Systèmes à membranes** : Les technologies de membrane comme celles utilisées dans le système **BIOMAX** avec des membranes ZeeWeed® MBR peuvent être très efficaces dans le traitement des eaux usées en retenant les matières en suspension et en permettant un contrôle précis des processus biologiques de nitrification et de dénitrification.
6. **Récolte des plantes aquatiques et des algues** : La récolte des plantes et algues peut réduire la charge en nutriments en éliminant la biomasse qui a absorbé ces éléments. Cette technique implique une gestion continue et une élimination adéquate de la biomasse récoltée.
7. **Remise en état des sédiments** : Les sédiments peuvent être une source interne de nutriments, en particulier de phosphore. Des techniques telles que le dragage ou l'inactivation des sédiments par l'ajout de produits qui lient le phosphore peuvent être utilisées pour réduire la libération interne de nutriments.
8. **Gestion hydraulique** : La manipulation du régime hydraulique, y compris le contrôle des niveaux d'eau et l'écoulement, peut être utilisée pour optimiser les conditions du marais pour la déseutrophisation et la santé écologique.
Il est important de noter que la déseutrophisation est généralement un processus complexe qui peut nécessiter une combinaison de techniques adaptées aux conditions spécifiques du marais artificiel et de son bassin versant. Un plan de gestion intégré et une surveillance continue de la qualité de l'eau sont essentiels pour assurer l'efficacité à long terme des stratégies de déseutrophisation.
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AQUAGO solutions pour les plans d'eau
Le catalogue des produits et services Aquago pour restaurer les plans d'eau malades, en images. Traiter l'eau, préserver la biodiversité, contrôler les nuisa...
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- Il y a 2 semaines
Recommandations : Renouvellement disques bassin d'aération
Réponse :
Pour le renouvellement des disques dans un bassin d'aération, il est crucial de considérer plusieurs aspects techniques. Optez pour des systèmes d'aération immergés ou de surface à haute efficacité pour maximiser le transfert d'oxygène et l'homogénéité du mélange. Le **LIXOR®**, avec son système Venturi non colmatant, est idéal pour des applications nécessitant un aérateur immergé à faible coût de maintenance. Pour des systèmes flottants, le **AQUA TURBO® AER-GS** assure un mélange intensif, avec un rendement constant, même en présence de filasses. En cas de contraintes d'installation au fond, le **E-FLEX FLOAT** propose une solution flottante avec des membranes EPDM ou silicone, permettant un diamètre de bulles optimal de 1 à 3 mm. Assurez-vous de choisir des matériaux non corrosifs pour garantir la durabilité des équipements. Pour plus de flexibilité, le **AQUA TURBO® AER-GD** offre des configurations adaptées aux bassins profonds avec un montage sur passerelle ou flottant. Enfin, considérez le **SUBMIX** pour une option alimentée par énergies renouvelables, réduisant ainsi l'empreinte carbone de votre installation.
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- Il y a 2 semaines
Retours d'expériences sur les agitateurs de fond des bassins d'aération
Réponse :
Les agitateurs de fond des bassins d'aération jouent un rôle crucial dans le maintien d'un mélange homogène et une distribution uniforme de l'oxygène. Le E-FLEX FLOAT, un système d'aération flottant, est idéal lorsque l'installation sur le fond est difficile. Il utilise des membranes en EPDM ou silicone pour créer de fines bulles, optimisant ainsi le transfert d'oxygène.
Pour des applications nécessitant une aération et un mélange à faible consommation énergétique, le SUBMIX est une option performante, alimentée par des sources renouvelables comme le solaire ou l'éolien. Sa capacité à traiter jusqu'à 2500 m³/h le rend apte pour les grands volumes.
Enfin, pour une approche plus intégrée, le système BioRobic assure un transfert d'oxygène sans colmatage, essentiel pour les effluents industriels à forte charge. Ce système est particulièrement adapté aux environnements corrosifs, garantissant une durabilité accrue.
Ces systèmes, tout en diversifiant les approches, répondent efficacement aux exigences techniques et énergétiques des stations d'épuration modernes. Les choix dépendent de la configuration du bassin, des besoins en oxygénation et des contraintes environnementales spécifiques.
Pour des applications nécessitant une aération et un mélange à faible consommation énergétique, le SUBMIX est une option performante, alimentée par des sources renouvelables comme le solaire ou l'éolien. Sa capacité à traiter jusqu'à 2500 m³/h le rend apte pour les grands volumes.
Enfin, pour une approche plus intégrée, le système BioRobic assure un transfert d'oxygène sans colmatage, essentiel pour les effluents industriels à forte charge. Ce système est particulièrement adapté aux environnements corrosifs, garantissant une durabilité accrue.
Ces systèmes, tout en diversifiant les approches, répondent efficacement aux exigences techniques et énergétiques des stations d'épuration modernes. Les choix dépendent de la configuration du bassin, des besoins en oxygénation et des contraintes environnementales spécifiques.
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- Le 28/02/2024
Quelles sont les techniques efficaces pour réaliser la déseutrophication d'un marais artificiel?
Réponse :
La déseutrophication d'un marais artificiel, également connue sous le terme de restauration écologique, est le processus visant à réduire l'excès de nutriments, principalement l'azote et le phosphore, qui provoque l'eutrophisation des eaux. Cette eutrophisation peut entraîner une croissance excessive d'algues et de plantes aquatiques, réduisant la qualité de l'eau et affectant négativement la biodiversité et les écosystèmes aquatiques. Pour réaliser la déseutrophication d'un marais artificiel, plusieurs techniques peuvent être employées :
1. **Contrôle des sources de nutriments** : La première étape consiste à limiter ou à intercepter les apports en nutriments provenant des sources ponctuelles (effluents industriels ou urbains) et diffuses (ruissellement agricole). Cela peut impliquer des changements dans les pratiques agricoles, l'installation de systèmes de traitement des eaux usées améliorés, ou la mise en place de zones tampons végétalisées pour filtrer les nutriments avant qu'ils n'atteignent le marais.
2. **Aération et brassage** : L'utilisation de systèmes d'aération ou de brassage comme le **SUBMIX** peut améliorer l'oxygénation de l'eau et faciliter les processus microbiens de dégradation de la matière organique et la nitrification/dénitrification, réduisant ainsi les concentrations d'azote.
3. **Traitement biologique** : L'introduction ou la gestion de plantes macrophytes et de micro-organismes est une stratégie clé pour la déseutrophisation. Les plantes absorbent les nutriments pour leur croissance, et les micro-organismes participent à la transformation de l'azote et du phosphore. Des systèmes comme le **NitriFAST®** peuvent être utilisés pour augmenter la capacité de nitrification et de dénitrification dans des conditions contrôlées.
4. **Précipitation chimique du phosphore** : L'ajout de sels de fer, d'aluminium ou de calcium peut être utilisé pour précipiter le phosphore, le rendant ainsi moins disponible pour les algues et les plantes aquatiques. Cette technique doit être utilisée avec précaution pour éviter la surcharge en sels et l'impact sur la faune.
5. **Systèmes à membranes** : Les technologies de membrane comme celles utilisées dans le système **BIOMAX** avec des membranes ZeeWeed® MBR peuvent être très efficaces dans le traitement des eaux usées en retenant les matières en suspension et en permettant un contrôle précis des processus biologiques de nitrification et de dénitrification.
6. **Récolte des plantes aquatiques et des algues** : La récolte des plantes et algues peut réduire la charge en nutriments en éliminant la biomasse qui a absorbé ces éléments. Cette technique implique une gestion continue et une élimination adéquate de la biomasse récoltée.
7. **Remise en état des sédiments** : Les sédiments peuvent être une source interne de nutriments, en particulier de phosphore. Des techniques telles que le dragage ou l'inactivation des sédiments par l'ajout de produits qui lient le phosphore peuvent être utilisées pour réduire la libération interne de nutriments.
8. **Gestion hydraulique** : La manipulation du régime hydraulique, y compris le contrôle des niveaux d'eau et l'écoulement, peut être utilisée pour optimiser les conditions du marais pour la déseutrophisation et la santé écologique.
Il est important de noter que la déseutrophisation est généralement un processus complexe qui peut nécessiter une combinaison de techniques adaptées aux conditions spécifiques du marais artificiel et de son bassin versant. Un plan de gestion intégré et une surveillance continue de la qualité de l'eau sont essentiels pour assurer l'efficacité à long terme des stratégies de déseutrophisation.
1. **Contrôle des sources de nutriments** : La première étape consiste à limiter ou à intercepter les apports en nutriments provenant des sources ponctuelles (effluents industriels ou urbains) et diffuses (ruissellement agricole). Cela peut impliquer des changements dans les pratiques agricoles, l'installation de systèmes de traitement des eaux usées améliorés, ou la mise en place de zones tampons végétalisées pour filtrer les nutriments avant qu'ils n'atteignent le marais.
2. **Aération et brassage** : L'utilisation de systèmes d'aération ou de brassage comme le **SUBMIX** peut améliorer l'oxygénation de l'eau et faciliter les processus microbiens de dégradation de la matière organique et la nitrification/dénitrification, réduisant ainsi les concentrations d'azote.
3. **Traitement biologique** : L'introduction ou la gestion de plantes macrophytes et de micro-organismes est une stratégie clé pour la déseutrophisation. Les plantes absorbent les nutriments pour leur croissance, et les micro-organismes participent à la transformation de l'azote et du phosphore. Des systèmes comme le **NitriFAST®** peuvent être utilisés pour augmenter la capacité de nitrification et de dénitrification dans des conditions contrôlées.
4. **Précipitation chimique du phosphore** : L'ajout de sels de fer, d'aluminium ou de calcium peut être utilisé pour précipiter le phosphore, le rendant ainsi moins disponible pour les algues et les plantes aquatiques. Cette technique doit être utilisée avec précaution pour éviter la surcharge en sels et l'impact sur la faune.
5. **Systèmes à membranes** : Les technologies de membrane comme celles utilisées dans le système **BIOMAX** avec des membranes ZeeWeed® MBR peuvent être très efficaces dans le traitement des eaux usées en retenant les matières en suspension et en permettant un contrôle précis des processus biologiques de nitrification et de dénitrification.
6. **Récolte des plantes aquatiques et des algues** : La récolte des plantes et algues peut réduire la charge en nutriments en éliminant la biomasse qui a absorbé ces éléments. Cette technique implique une gestion continue et une élimination adéquate de la biomasse récoltée.
7. **Remise en état des sédiments** : Les sédiments peuvent être une source interne de nutriments, en particulier de phosphore. Des techniques telles que le dragage ou l'inactivation des sédiments par l'ajout de produits qui lient le phosphore peuvent être utilisées pour réduire la libération interne de nutriments.
8. **Gestion hydraulique** : La manipulation du régime hydraulique, y compris le contrôle des niveaux d'eau et l'écoulement, peut être utilisée pour optimiser les conditions du marais pour la déseutrophisation et la santé écologique.
Il est important de noter que la déseutrophisation est généralement un processus complexe qui peut nécessiter une combinaison de techniques adaptées aux conditions spécifiques du marais artificiel et de son bassin versant. Un plan de gestion intégré et une surveillance continue de la qualité de l'eau sont essentiels pour assurer l'efficacité à long terme des stratégies de déseutrophisation.
Nouvelle réponse
- Le 30/01/2024
Combien coute l'installation d'un système de filtration par lagunage ?
Réponse :
Le coût d'installation d'un système de filtration par lagunage dépend de nombreux facteurs, notamment la taille du projet, le type de lagunage (naturel ou artificiel), la complexité du site, les matériaux utilisés, les normes réglementaires locales, et les coûts de main-d'œuvre. En raison de ces variations, il est difficile de donner une estimation précise sans connaître les spécificités du projet.
Voici les principaux facteurs qui influencent le coût d'un système de lagunage :
1. **Taille et capacité**: Plus le système est grand et plus il doit traiter de volume d'eau, plus le coût sera élevé. Ceci inclut la surface de bassins de lagunage et la profondeur de ceux-ci.
2. **Conception et ingénierie**: La phase de conception nécessite souvent l'intervention de consultants spécialisés en traitement des eaux usées, ce qui peut constituer une part significative du budget.
3. **Préparation du site**: Les travaux nécessaires pour préparer le site peuvent inclure le défrichage, l'excavation, le nivellement du terrain et le renforcement des berges.
4. **Matériaux de construction**: Les matériaux tels que les revêtements imperméables, les systèmes de drainage, les pompes et les systèmes de conduites influencent également le coût total.
5. **Plantation**: Le coût des plantes aquatiques utilisées dans le lagunage, essentielles pour le traitement biologique, doit être inclus.
6. **Maintenance**: Bien que le lagunage soit une méthode de traitement nécessitant relativement peu d'entretien, il y a tout de même des coûts associés à la gestion à long terme du système.
7. **Réglementations**: Les exigences réglementaires locales peuvent nécessiter des équipements supplémentaires ou des procédures spécifiques qui augmentent les coûts.
En termes de produits, il peut être nécessaire d'intégrer des systèmes comme le **SUBMIX** pour assurer un brassage lent et une oxygénation adéquate de l'eau dans le système de lagunage, surtout si le lagunage est de type artificiel.
Pour obtenir une estimation précise, il convient de contacter un fournisseur spécialisé dans les systèmes de traitement des eaux usées qui pourra réaliser une étude de faisabilité et fournir un devis détaillé basé sur les spécifications du projet. Il est également recommandé de prendre en compte plusieurs devis pour comparer les offres et optimiser le rapport qualité-prix.
En termes de budget, l'installation d'un système de lagunage peut varier de quelques milliers à plusieurs centaines de milliers d'euros, voire plus pour les très grands projets industriels ou municipaux.
Voici les principaux facteurs qui influencent le coût d'un système de lagunage :
1. **Taille et capacité**: Plus le système est grand et plus il doit traiter de volume d'eau, plus le coût sera élevé. Ceci inclut la surface de bassins de lagunage et la profondeur de ceux-ci.
2. **Conception et ingénierie**: La phase de conception nécessite souvent l'intervention de consultants spécialisés en traitement des eaux usées, ce qui peut constituer une part significative du budget.
3. **Préparation du site**: Les travaux nécessaires pour préparer le site peuvent inclure le défrichage, l'excavation, le nivellement du terrain et le renforcement des berges.
4. **Matériaux de construction**: Les matériaux tels que les revêtements imperméables, les systèmes de drainage, les pompes et les systèmes de conduites influencent également le coût total.
5. **Plantation**: Le coût des plantes aquatiques utilisées dans le lagunage, essentielles pour le traitement biologique, doit être inclus.
6. **Maintenance**: Bien que le lagunage soit une méthode de traitement nécessitant relativement peu d'entretien, il y a tout de même des coûts associés à la gestion à long terme du système.
7. **Réglementations**: Les exigences réglementaires locales peuvent nécessiter des équipements supplémentaires ou des procédures spécifiques qui augmentent les coûts.
En termes de produits, il peut être nécessaire d'intégrer des systèmes comme le **SUBMIX** pour assurer un brassage lent et une oxygénation adéquate de l'eau dans le système de lagunage, surtout si le lagunage est de type artificiel.
Pour obtenir une estimation précise, il convient de contacter un fournisseur spécialisé dans les systèmes de traitement des eaux usées qui pourra réaliser une étude de faisabilité et fournir un devis détaillé basé sur les spécifications du projet. Il est également recommandé de prendre en compte plusieurs devis pour comparer les offres et optimiser le rapport qualité-prix.
En termes de budget, l'installation d'un système de lagunage peut varier de quelques milliers à plusieurs centaines de milliers d'euros, voire plus pour les très grands projets industriels ou municipaux.
Nouvelle réponse
- Le 28/01/2024
Qu'est ce que la déseutrophisation?
Réponse :
La déseutrophisation est un processus de restauration écologique visant à réduire l'eutrophisation, c'est-à-dire l'excès de nutriments (principalement l'azote et le phosphore) dans les masses d'eau comme les lacs, les rivières et les étangs. Ce phénomène d'eutrophisation provoque une croissance excessive d'algues et de plantes aquatiques, qui, lorsqu'elles meurent et se décomposent, épuisent l'oxygène de l'eau, causant des zones hypoxiques (faibles en oxygène) et nuisant à la vie aquatique et à la qualité de l'eau.
La déseutrophisation implique diverses techniques visant à réduire la concentration de ces nutriments et à restaurer l'équilibre écologique des eaux affectées. Voici quelques méthodes qui peuvent être utilisées pour atteindre cet objectif, ainsi que des produits spécifiques qui pourraient être impliqués dans de telles techniques:
1. **Traitement Physico-chimique**: Utilisation de produits chimiques comme le chlorure ferrique dans le processus de précipitation pour lier le phosphore et l'éliminer de l'eau. Le système **BIOMAX**, avec ses membranes ZeeWeed® MBR, peut être adapté pour faciliter l'élimination du phosphore, notamment grâce à sa compatibilité avec l'ajout de chlorure ferrique.
2. **Gestion des sédiments**: Retrait ou inactivation des sédiments enrichis en nutriments au fond de la masse d'eau pour éviter la libération future de ces nutriments dans la colonne d'eau.
3. **Réduction de l'apport externe en nutriments**: Diminution des sources de nutriments provenant des eaux de ruissellement agricoles, des rejets industriels et domestiques par des améliorations dans la gestion des terres et des eaux usées. Les systèmes comme **NitriFAST®** sont conçus pour réduire les concentrations élevées d'azote dans les eaux usées en transformant l'ammoniac en nitrate via un processus de nitrification, suivi d'une dénitrification pour convertir les nitrates en azote gazeux, qui est alors libéré dans l'atmosphère.
4. **Biomanipulation**: Modification de la structure de la chaîne alimentaire aquatique, souvent en augmentant les prédateurs de certains herbivores (comme les poissons) pour réduire le nombre de ces derniers et, par conséquent, augmenter la biomasse des plantes aquatiques macrophytes qui concurrencent les algues pour les nutriments.
5. **Aération et brassage**: Amélioration de la circulation de l'eau et de l'oxygénation pour prévenir l'accumulation de nutriments et promouvoir la vie aquatique saine. Le **SUBMIX** est un exemple de dispositif d'aération par brassage qui peut être utilisé dans des lacs et étangs pour améliorer l'oxygénation, réduisant ainsi les effets de l'eutrophisation.
Chacune de ces méthodes peut être utilisée seule ou en combinaison avec d'autres pour obtenir une déseutrophisation efficace et durable des eaux eutrophiques. Le choix des méthodes dépend de plusieurs facteurs, tels que l'ampleur de l'eutrophisation, le type de masse d'eau, la source des nutriments et les objectifs de gestion à long terme.
La déseutrophisation implique diverses techniques visant à réduire la concentration de ces nutriments et à restaurer l'équilibre écologique des eaux affectées. Voici quelques méthodes qui peuvent être utilisées pour atteindre cet objectif, ainsi que des produits spécifiques qui pourraient être impliqués dans de telles techniques:
1. **Traitement Physico-chimique**: Utilisation de produits chimiques comme le chlorure ferrique dans le processus de précipitation pour lier le phosphore et l'éliminer de l'eau. Le système **BIOMAX**, avec ses membranes ZeeWeed® MBR, peut être adapté pour faciliter l'élimination du phosphore, notamment grâce à sa compatibilité avec l'ajout de chlorure ferrique.
2. **Gestion des sédiments**: Retrait ou inactivation des sédiments enrichis en nutriments au fond de la masse d'eau pour éviter la libération future de ces nutriments dans la colonne d'eau.
3. **Réduction de l'apport externe en nutriments**: Diminution des sources de nutriments provenant des eaux de ruissellement agricoles, des rejets industriels et domestiques par des améliorations dans la gestion des terres et des eaux usées. Les systèmes comme **NitriFAST®** sont conçus pour réduire les concentrations élevées d'azote dans les eaux usées en transformant l'ammoniac en nitrate via un processus de nitrification, suivi d'une dénitrification pour convertir les nitrates en azote gazeux, qui est alors libéré dans l'atmosphère.
4. **Biomanipulation**: Modification de la structure de la chaîne alimentaire aquatique, souvent en augmentant les prédateurs de certains herbivores (comme les poissons) pour réduire le nombre de ces derniers et, par conséquent, augmenter la biomasse des plantes aquatiques macrophytes qui concurrencent les algues pour les nutriments.
5. **Aération et brassage**: Amélioration de la circulation de l'eau et de l'oxygénation pour prévenir l'accumulation de nutriments et promouvoir la vie aquatique saine. Le **SUBMIX** est un exemple de dispositif d'aération par brassage qui peut être utilisé dans des lacs et étangs pour améliorer l'oxygénation, réduisant ainsi les effets de l'eutrophisation.
Chacune de ces méthodes peut être utilisée seule ou en combinaison avec d'autres pour obtenir une déseutrophisation efficace et durable des eaux eutrophiques. Le choix des méthodes dépend de plusieurs facteurs, tels que l'ampleur de l'eutrophisation, le type de masse d'eau, la source des nutriments et les objectifs de gestion à long terme.
Nouvelle réponse
- Le 24/01/2024
Assainissement des eaux usées et pluviales et création d'un plan des réseaux de tuyau afin d'emmener l'eau usée jusqu'à la lagune.
Réponse :
La gestion et l'assainissement des eaux usées et pluviales impliquent une série d'étapes techniques précises pour collecter, transporter, traiter et finalement rejeter ou réutiliser l'eau traitée. La création d'un plan pour les réseaux de tuyauteries qui achemineront les eaux usées jusqu'à une lagune nécessite une planification minutieuse qui prend en compte plusieurs facteurs techniques, environnementaux et réglementaires.
Étapes clés pour la création d'un plan d'assainissement des eaux usées et pluviales :
1. **Étude préliminaire et diagnostic** : Avant de concevoir le réseau, il est essentiel de réaliser une étude préliminaire. Cela inclut l'évaluation des débits d'eaux usées et pluviales, des charges polluantes, la topographie du site, la nature du sol et du sous-sol, les conditions hydrologiques et les contraintes réglementaires.
2. **Conception du réseau de collecte** : Sur la base de l'étude préliminaire, il faut définir le tracé optimal des canalisations en tenant compte de la pente nécessaire pour l'écoulement gravitaire, des points de collecte des eaux usées et pluviales, et des infrastructures existantes.
3. **Dimensionnement des canalisations** : Le dimensionnement doit tenir compte des débits de pointe prévus, de la méthode de calcul des débits (méthode rationnelle, méthode de l'hydrogramme unitaire, etc.), et des normes de construction. Il faut également choisir des matériaux résistants à la corrosion et des diamètres appropriés pour éviter les engorgements et pour faciliter l'entretien.
4. **Intégration des ouvrages annexes** : Des ouvrages comme des regards de visite, des déversoirs d'orage, des bassins de rétention ou d'infiltration, des séparateurs d'hydrocarbures, etc., doivent être intégrés au réseau pour gérer les variations de débit et la qualité de l'eau.
5. **Traitement préalable** : Avant que l'eau n'atteigne la lagune, un prétraitement peut être nécessaire pour enlever les déchets solides et les sables, ce qui peut être réalisé par des dégrilleurs, des dessableurs ou des déshuileurs.
6. **Conception de la lagune** : La lagune doit être conçue pour gérer les volumes d'eau estimés et les charges polluantes. Cela implique le dimensionnement des bassins, le choix du type de lagunage (naturel, aéré, etc.), et l'installation d'équipements comme des aérateurs pour augmenter l'efficacité du traitement.
Produits potentiels à utiliser :
- **SUBMIX** : Un aérateur par brassage lent basse consommation qui pourrait être utilisé pour augmenter l'oxygénation dans les lagunes aérées, ce qui est crucial pour le traitement biologique des eaux usées.
- **DLK 301** : Un débitmètre immergeable avec ultrason ou capteur piézo peut être utilisé pour surveiller les débits dans le réseau de canalisations et s'assurer que les conditions de conception sont respectées.
- **OXYPR'EAU** : Des aérateurs qui pourraient être déployés dans la lagune pour maintenir une oxygénation adéquate et favoriser la dégradation biologique des polluants.
- **AQUAFEN 1,5 KW** : Une turbine rapide flottante qui pourrait être utilisée dans des lagunes aérées pour améliorer le brassage et l'oxygénation de l'eau.
En conclusion, la création d'un plan des réseaux de tuyaux pour l'assainissement des eaux usées et pluviales vers une lagune implique un travail d'ingénierie détaillé, où chaque étape de la conception doit être accordée aux caractéristiques spécifiques du site et aux exigences réglementaires. Les équipements choisis doivent être adaptés aux conditions opérationnelles et aux objectifs de traitement afin de garantir un système d'assainissement efficace et durable.
Étapes clés pour la création d'un plan d'assainissement des eaux usées et pluviales :
1. **Étude préliminaire et diagnostic** : Avant de concevoir le réseau, il est essentiel de réaliser une étude préliminaire. Cela inclut l'évaluation des débits d'eaux usées et pluviales, des charges polluantes, la topographie du site, la nature du sol et du sous-sol, les conditions hydrologiques et les contraintes réglementaires.
2. **Conception du réseau de collecte** : Sur la base de l'étude préliminaire, il faut définir le tracé optimal des canalisations en tenant compte de la pente nécessaire pour l'écoulement gravitaire, des points de collecte des eaux usées et pluviales, et des infrastructures existantes.
3. **Dimensionnement des canalisations** : Le dimensionnement doit tenir compte des débits de pointe prévus, de la méthode de calcul des débits (méthode rationnelle, méthode de l'hydrogramme unitaire, etc.), et des normes de construction. Il faut également choisir des matériaux résistants à la corrosion et des diamètres appropriés pour éviter les engorgements et pour faciliter l'entretien.
4. **Intégration des ouvrages annexes** : Des ouvrages comme des regards de visite, des déversoirs d'orage, des bassins de rétention ou d'infiltration, des séparateurs d'hydrocarbures, etc., doivent être intégrés au réseau pour gérer les variations de débit et la qualité de l'eau.
5. **Traitement préalable** : Avant que l'eau n'atteigne la lagune, un prétraitement peut être nécessaire pour enlever les déchets solides et les sables, ce qui peut être réalisé par des dégrilleurs, des dessableurs ou des déshuileurs.
6. **Conception de la lagune** : La lagune doit être conçue pour gérer les volumes d'eau estimés et les charges polluantes. Cela implique le dimensionnement des bassins, le choix du type de lagunage (naturel, aéré, etc.), et l'installation d'équipements comme des aérateurs pour augmenter l'efficacité du traitement.
Produits potentiels à utiliser :
- **SUBMIX** : Un aérateur par brassage lent basse consommation qui pourrait être utilisé pour augmenter l'oxygénation dans les lagunes aérées, ce qui est crucial pour le traitement biologique des eaux usées.
- **DLK 301** : Un débitmètre immergeable avec ultrason ou capteur piézo peut être utilisé pour surveiller les débits dans le réseau de canalisations et s'assurer que les conditions de conception sont respectées.
- **OXYPR'EAU** : Des aérateurs qui pourraient être déployés dans la lagune pour maintenir une oxygénation adéquate et favoriser la dégradation biologique des polluants.
- **AQUAFEN 1,5 KW** : Une turbine rapide flottante qui pourrait être utilisée dans des lagunes aérées pour améliorer le brassage et l'oxygénation de l'eau.
En conclusion, la création d'un plan des réseaux de tuyaux pour l'assainissement des eaux usées et pluviales vers une lagune implique un travail d'ingénierie détaillé, où chaque étape de la conception doit être accordée aux caractéristiques spécifiques du site et aux exigences réglementaires. Les équipements choisis doivent être adaptés aux conditions opérationnelles et aux objectifs de traitement afin de garantir un système d'assainissement efficace et durable.
Nouvelle réponse
- Le 10/01/2024
Je travaille sur un système de lagunage avec une algue capable d'absorber des polluants. Cependant, cette algue désorbe le polluant au bout de 14 jours. Est-il possible d'effectuer un curage de lagune en n'enlevant que 50% des algues ?
Réponse :
Le lagunage est un processus naturel de traitement des eaux usées qui utilise les algues, les bactéries et d'autres micro-organismes pour dégrader les polluants organiques et inorganiques. La capacité des algues à absorber certains polluants est un avantage dans ce type de système, mais la désorption de ces polluants après une certaine période peut poser problème si les polluants sont relâchés dans l'environnement.
Pour effectuer un curage de lagune tout en préservant une partie des algues, il est nécessaire de mettre en œuvre une méthode sélective de curage qui permettrait d'enlever une certaine quantité d'algues sans perturber l'ensemble de l'écosystème lagunaire. Voici quelques techniques et produits qui pourraient être pertinents pour cette situation :
1. Curage mécanique sélectif : Des outils de curage mécanique comme des râteaux ou des dragues peuvent être utilisés pour enlever une couche superficielle des algues en contrôlant la profondeur de prélèvement. Cela nécessiterait une opération manuelle ou semi-automatisée avec un contrôle précis pour ne pas enlever plus de 50% des algues.
2. Utilisation de bateaux faucardeurs : Des bateaux spécifiquement conçus pour faucher et collecter la végétation aquatique peuvent être employés pour enlever une partie des algues de la surface de la lagune.
3. Systèmes de flottation : Des techniques de flottation assistée par air dissous (FAD) ou par flottation à air induit pourraient être utilisées pour séparer et extraire les algues de la lagune sans les détruire complètement.
4. Aération sélective : L'utilisation de systèmes d'aération comme le "SUBMIX", un aérateur par brassage lent basse consommation, pourrait être envisagée pour augmenter localement l'oxygénation et favoriser la sédimentation des algues les plus lourdes ou vieillissantes, permettant ainsi leur extraction plus ciblée.
Il est important de noter que la stratégie de curage doit être conçue avec précaution pour éviter une perturbation excessive du système de lagunage, qui pourrait entraîner une libération non contrôlée des polluants ou nuire à l'efficacité globale du traitement. Il serait également conseillé de réaliser des tests pilotes et des analyses pour déterminer la meilleure approche et le meilleur moment pour effectuer le curage, en tenant compte du cycle de vie des algues et de leur capacité d'absorption des polluants.
En outre, une gestion adéquate des algues extraites est cruciale. Les algues chargées de polluants doivent être traitées ou éliminées de manière appropriée pour éviter toute contamination secondaire. Des études supplémentaires pourraient également être menées pour comprendre le mécanisme de désorption et évaluer si des modifications du processus de lagunage pourraient prolonger le temps d'absorption des polluants par les algues ou minimiser leur libération.
Pour effectuer un curage de lagune tout en préservant une partie des algues, il est nécessaire de mettre en œuvre une méthode sélective de curage qui permettrait d'enlever une certaine quantité d'algues sans perturber l'ensemble de l'écosystème lagunaire. Voici quelques techniques et produits qui pourraient être pertinents pour cette situation :
1. Curage mécanique sélectif : Des outils de curage mécanique comme des râteaux ou des dragues peuvent être utilisés pour enlever une couche superficielle des algues en contrôlant la profondeur de prélèvement. Cela nécessiterait une opération manuelle ou semi-automatisée avec un contrôle précis pour ne pas enlever plus de 50% des algues.
2. Utilisation de bateaux faucardeurs : Des bateaux spécifiquement conçus pour faucher et collecter la végétation aquatique peuvent être employés pour enlever une partie des algues de la surface de la lagune.
3. Systèmes de flottation : Des techniques de flottation assistée par air dissous (FAD) ou par flottation à air induit pourraient être utilisées pour séparer et extraire les algues de la lagune sans les détruire complètement.
4. Aération sélective : L'utilisation de systèmes d'aération comme le "SUBMIX", un aérateur par brassage lent basse consommation, pourrait être envisagée pour augmenter localement l'oxygénation et favoriser la sédimentation des algues les plus lourdes ou vieillissantes, permettant ainsi leur extraction plus ciblée.
Il est important de noter que la stratégie de curage doit être conçue avec précaution pour éviter une perturbation excessive du système de lagunage, qui pourrait entraîner une libération non contrôlée des polluants ou nuire à l'efficacité globale du traitement. Il serait également conseillé de réaliser des tests pilotes et des analyses pour déterminer la meilleure approche et le meilleur moment pour effectuer le curage, en tenant compte du cycle de vie des algues et de leur capacité d'absorption des polluants.
En outre, une gestion adéquate des algues extraites est cruciale. Les algues chargées de polluants doivent être traitées ou éliminées de manière appropriée pour éviter toute contamination secondaire. Des études supplémentaires pourraient également être menées pour comprendre le mécanisme de désorption et évaluer si des modifications du processus de lagunage pourraient prolonger le temps d'absorption des polluants par les algues ou minimiser leur libération.
Nouvelle réponse
- Le 30/12/2023
Quel est le rapport optimal MS/MVS pour un traitement BRM ?
Réponse :
Le rapport MS/MVS (Matières Sèches/Matières Volatiles Sèches) est un indicateur important dans le traitement des boues de stations d'épuration, notamment dans les procédés de Boues Activées en Mode Batch Réacteur (BRM), également connus sous le nom de procédés à boues activées séquentielles ou SBR (Sequencing Batch Reactor).
Le rapport MS/MVS donne une indication de la proportion de matière organique biodégradable dans les boues. Les MS représentent la quantité totale de solides présents dans les boues, tandis que les MVS représentent la fraction organique de ces solides, c'est-à-dire la partie qui peut être dégradée biologiquement par les micro-organismes.
Pour un traitement optimal dans un système BRM, le rapport MS/MVS doit être ajusté de manière à fournir une quantité suffisante de biomasse active pour le traitement biologique des eaux usées, tout en évitant l'excès de boue qui nécessiterait une gestion supplémentaire. Un rapport MS/MVS trop bas indiquerait une faible concentration de matière organique biodégradable, ce qui pourrait conduire à une activité microbiologique insuffisante pour un traitement efficace. À l'inverse, un rapport trop élevé pourrait indiquer une surcharge organique et un risque d'accumulation de boues inerte, pouvant entraîner des problèmes d'entartrage et de fonctionnement du réacteur.
En général, le rapport MS/MVS souhaité pour un traitement BRM est généralement situé entre 0,75 et 0,85. Ce rapport permet d'assurer une bonne activité biologique avec une population microbienne efficace pour la dégradation de la matière organique. Il est important de noter que ce rapport peut varier en fonction des caractéristiques spécifiques des eaux usées à traiter et des paramètres de conception et d'exploitation du système BRM.
Des équipements et processus tels que les décanteurs, les flottateurs à air dissous (comme le MEGACELL VERTICAL MCV de Salher ou le FLOTOFILTER DAFF), ou encore les systèmes d'aération et de brassage (comme l'AEROSTREAM® de Salher ou le SUBMIX pour le brassage basse consommation) peuvent être conçus ou ajustés pour maintenir un rapport MS/MVS optimal dans un traitement BRM.
Il est essentiel de surveiller régulièrement ce rapport dans une station d'épuration afin d'ajuster les processus opérationnels, comme le temps de séjour, la charge organique, ou encore la quantité de boues retournées au réacteur. Ces ajustements permettent de maintenir la performance du traitement et d'assurer la conformité avec les normes de rejet.
Le rapport MS/MVS donne une indication de la proportion de matière organique biodégradable dans les boues. Les MS représentent la quantité totale de solides présents dans les boues, tandis que les MVS représentent la fraction organique de ces solides, c'est-à-dire la partie qui peut être dégradée biologiquement par les micro-organismes.
Pour un traitement optimal dans un système BRM, le rapport MS/MVS doit être ajusté de manière à fournir une quantité suffisante de biomasse active pour le traitement biologique des eaux usées, tout en évitant l'excès de boue qui nécessiterait une gestion supplémentaire. Un rapport MS/MVS trop bas indiquerait une faible concentration de matière organique biodégradable, ce qui pourrait conduire à une activité microbiologique insuffisante pour un traitement efficace. À l'inverse, un rapport trop élevé pourrait indiquer une surcharge organique et un risque d'accumulation de boues inerte, pouvant entraîner des problèmes d'entartrage et de fonctionnement du réacteur.
En général, le rapport MS/MVS souhaité pour un traitement BRM est généralement situé entre 0,75 et 0,85. Ce rapport permet d'assurer une bonne activité biologique avec une population microbienne efficace pour la dégradation de la matière organique. Il est important de noter que ce rapport peut varier en fonction des caractéristiques spécifiques des eaux usées à traiter et des paramètres de conception et d'exploitation du système BRM.
Des équipements et processus tels que les décanteurs, les flottateurs à air dissous (comme le MEGACELL VERTICAL MCV de Salher ou le FLOTOFILTER DAFF), ou encore les systèmes d'aération et de brassage (comme l'AEROSTREAM® de Salher ou le SUBMIX pour le brassage basse consommation) peuvent être conçus ou ajustés pour maintenir un rapport MS/MVS optimal dans un traitement BRM.
Il est essentiel de surveiller régulièrement ce rapport dans une station d'épuration afin d'ajuster les processus opérationnels, comme le temps de séjour, la charge organique, ou encore la quantité de boues retournées au réacteur. Ces ajustements permettent de maintenir la performance du traitement et d'assurer la conformité avec les normes de rejet.
Nouvelle réponse
- Le 12/03/2020
J'aimerai changer l'aération d'une station de 500 EH fonctionnant avec un Hydro injecteur défectueux par une turbine. Pouvez-vous m'en dire plus sur les turbines dites lentes. Est-ce qu'il existe des modèles pour stations plus petites ?
à répondu :
Bonjour. Concernant votre demande nous proposons des brasseurs lents très basse consommation de 0.5 Kw (SUBMIX) et des appareils autonomes solaires (SUNGO). N'hésitez pas à nous contacter pour plus d'informations. contact@aquago.fr
Cordialement
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